Tribune libre Béatrice Doinette
Hans Blix, ancien directeur de l’Agence internationale de l’énergie atomique, estime qu’une intervention militaire internationale en Syrie est peu probable.
Directeur général de l’Agence internationale de l’Energie atomique lors de la guerre contre Saddam Hussein – qu’il a refusé de justifier – et ordonnateur du confinement de Tchernobyl, le diplomate et juriste suédois Hans Blix estime aujourd’hui négligeable la probabilité que la guerre civile en Syrie débouche sur un risque nucléaire au Proche-Orient. En revanche, il tient pour improbable que le régime de la famille Assad soit à l’origine d’une utilisation de gaz innervant contre des populations civiles dans la grande banlieue de Damas.
Par RFI
tout ça prépare une attaque prémédité de longue date contre l’Iran , et là je pense qu’un conflit majeur verra le jour, seul la Chine et la Russie pourraient limiter la casse en s’interposant directement , pour rétablir l’équilibre indispensable entre les force sionistes occidentales et le reste du monde, dommage que la France et l’Europe n’est pas gardé la carte de la neutralité et sont aux ordres des USA
Je pense que les USA feront tout pour faire accuser Assad et ainsi pouvoir l’attaquer ! J’espère que la Russie et la Chine vont s’en mêler très vite maintenant ! Cela n’a que trop durer ! Et tous ces dirigeants politiques véreux qui poussent aux crimes les terroristes ! Je n’en peux plus de voir cela ,et pourtant ce n’est pas mon pays ,mais j’ai mal pour eux …!
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AIEA, armes chimiques, Hans Blix, Saddam Hussein, syrie
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