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L’Union européenne va peut-être tuer la peine de mort en Amérique


800px-SQ_Lethal_Injection_RoomQuand on pense aux centaines de bonnes raisons d’abolir la peine de mort, on évoque souvent ses implications éthiques, la présomption d’innocence ou l’incohérence de son application. Mais dernièrement, ce sont des considérations pratiques qui ont ralenti le nombre d’exécutions en Amérique —et certains États en viennent à se demander s’il ne serait pas temps d’y mettre un terme.

Au-delà des hausses de prix associées aux prisonniers qui croupissent dans les couloirs de la mort, les industries pharmaceutiques sont de plus en plus réticentes à ce que leurs produits soient utilisés pour exécuter des prisonniers. Les lois de l’Union européenne en sont la principale raison.

En janvier 2011, l’entreprise pharmaceutique Hospira a annoncé qu’elle mettait fin à la  production de thiopental sodique pour des raisons éthiques —étant donné qu’il était impossible de s’assurer qu’il ne soit pas utilisé pour des injections létales. À l’époque, le thiopental sodique faisait office d’antalgique. Les injections létales se composaient également de bromure de pancuronium (pour paralyser le prisonnier) et de chlorure de potassium (qui provoquait un arrêt cardiaque).

Sur son site officiel, l’entreprise a rappelé ses objectifs : « sauver les vies des patients que nous servons ». Elle explique que « l’entreprise s’est toujours publiquement opposée à l’utilisation de ses produits pour servir la peine de mort » et a aussitôt cessé de vendre les produits qu’elle savait destinés à des injections létales.

Ces mesures répressives sont également motivées par la délocalisation de la production de thiopental sodique. Après la Caroline du nord, la production se fait désormais en Italie, où elle tombe sous la juridiction de l’Interdiction du commerce des équipements de torture de l’Union Européenne.

Ce règlement « met en place un régime commercial spécifique couvrant certains équipements et produits susceptibles d’être utilisés pour la torture et la peine capitale » ainsi que pour « d’autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants dans les pays tiers. »

Pour importer du thiopental sodique, l’entreprise Hospira aurait dû prouver qu’elle ne comptait pas l’utiliser à ces fins —ce qui s’est avéré être impossible. « Nous ne pouvons pas nous plier aux demandes de l’Italie, et nous avions peur que nos employés italiens en prennent la responsabilité » a expliqué Dan Rosenberg, porte-parole de Hospira, au Washington Post.

Maintenant que les provisions de thiopental sodique s’épuisent, les États appliquant la peine de mort cherchent actuellement une alternative. The New Republic a révélé qu’un moratoire avait été mis en place sur les exécutions de l’Arkansas, de la Californie, du Kentucky, de la Louisiane, du Maryland, du Missouri, du Montana, du Nebrasaka, de la Caroline du Nord, de l’Oregon et du Tennessee.

Le Missouri avait prévu de remplacer le thiopental sodique par du propofol anesthésique, jusqu’à ce que son fabriquant allemand Fresenius Kabi ne pose un ultimatum et menace d’arrêter d’en faire exporter vers les États-Unis. Ce qui serait regrettable pour eux, sachant  que le propofol est le produit anesthésique le plus populaire du pays. Près de 50 millions de doses sont utilisées dans les hôpitaux chaque année. 90% du propofol qu’on peut trouver en Amérique est fabriqué dans des pays de l’Union européenne.

Bien entendu, la communauté médicale ne voulait pas voir l’exportation de propofol cesser. Par exemple, la Missouri Society of Anesthesiologists a publié un article qui dit notamment : « En tant que physiciens, les médecins anesthésistes-réanimateurs utilisent du propofol sur près de 95% de leurs opérations. Si le Missouri venait à utiliser cet anesthésique pour une injection létale, plus de 15 000 hôpitaux, cliniques et centres médicaux risqueraient de perdre leurs provisions de propofol. »

La MSA soulève un problème qui ne relève plus du débat sur la peine de mort, mais bien d’une question de santé publique, que Nixon a évoquée en annonçant que le propofol ne serait pas utilisé.

Les États cherchent encore une alternative. Le Texas, l’Ohio, la Pennsylvannie et le Dakota du Sud comptent désormais sur les pharmacies enclines à faire des préparations magistrales qui leur permettraient de faire des injections létales. La Géorgie et le Colorado ont exprimé leur désir de faire de même.

Les préparations magistrales sont effectuées par les pharmaciens, qui mélangent des médicaments pour un patient précis. Cela leur permet notamment de contourner les règlements de l’UE et de la FDA.

J’ai discuté avec Richard Dieter du Death Penalty Information Center pour lui demander pourquoi les préparations magistrales constituaient une telle source d’inquiétude, et il a directement évoqué un manque de réglementation et de fiabilité : « Ce problème a été mis en lumière l’année dernière, lorsqu’une pharmacie a fourni des stéroïdes qui ont provoqué le décès d’une soixantaine de personnes. Le problème, c’est la contamination. Il est possible que ces médicaments soient fabriqués sans examen approfondi ».

Normalement, les préparations magistrales sont supervisées par un docteur. Mais dans les prisons, il est fort probable que les personnes qui injectent les médicaments ne soient pas qualifiées pour mesurer leur fiabilité.

J’ignore si vous connaissez cette blague où un type se demande pourquoi on stérilise les aiguilles qui servent aux injections létales, mais les possibilités de contamination entraînent la même question. Dieter m’a également expliqué qu’il était très important de connaître la puissance d’un médicament pour s’assurer que la punition soit effective et ne devienne pas « cruelle ou inhumaine » et par conséquence, illégale. Si un médicament est censé provoquer une perte de connaissance ou la mort, mais qu’il est mal préparé et ne fonctionne qu’à 75%, il pourrait provoquer « une perte de connaissance partielle ou une lente agonie ».

«  Ce serait cruel de soumettre quelqu’un à une injection aux résultats incertains —que ce soit un médicament jamais utilisé auparavant, ou qu’il provienne d’une entreprise qui ne fait pas d’examens approfondis. » m’a dit Dieter. «  L’État pourrait être accusé de négligence, ou de fournir de très mauvais traitements dans les prisons et les hôpitaux psychiatriques. C’est une manière très cruelle de traiter les gens. Oui, on peut les exécuter, mais il y a une procédure à suivre ».

Dieter ne pense pas que ces tracasseries puissent entraîner l’abolition de la peine de mort en Amérique, mais elles pourraient cependant convaincre les États indécis de lâcher l’affaire. « Ce n’est pas qu’une histoire de médicament. Si un État est fermement décidé à appliquer la peine de mort, il trouvera toujours un moyen » a poursuivi Dieter. « Mais s’ils restent hésitants sur la question, ça pourrait très bien les pousser à tout arrêter ».

Dans tous les cas, ces questions ont mené à un ralentissement des exécutions. En Géorgie, le cas du condamné à mort Warren Lee Hill a posé quelques problèmes, notamment sur le droit de confidentitalié concernant les préparations magistrales. Son exécution a finalement été reportée.

Le Maryland est le dernier État en date à avoir banni la peine de mort, en mai 2013. « Ce n’est pas à cause des injections létales, mais ces problèmes ont ralenti leurs exécutions » a expliqué Dieter. « Il y a beaucoup de facteurs, mais ça va faire six ans qu’il n’y a pas eu d’exécution par injection létale dans le Maryland ».

Le gouverneur du Missouri a noté qu’il en était du ressort des tribunaux américains de déterminer si la peine de mort devrait rester, et que ce n’était pas aux lois européennes d’en décider. Cependant, ces tribunaux pourraient très bien conclure qu’à cause des lois européennes sur l’exportation, il n’existe plus aucune manière constitutionnelle de préserver la peine de mort.

«  La pénurie de médicaments, ses causes et ses conséquences n’ont aucun rapport avec le processus d’exécution de ce pays » a dit Deborah Denno, une experte fermement opposée à la peine de mort au National Journal. Cependant, ce facteur pourrait enfin permettre l’abolition de la peine de mort. Et c’est assez ironique, parce que ce n’était certainement pas ce qu’espéraient ses détracteurs.

Finalement, cette histoire nous montre aussi que la mondialisation a parfois ses avantages. Si quelqu’un impose un règlement spécifique, les États doivent s’y plier. Même les États-Unis.

http://www.vice.com/fr/read/l-union-europenne-va-peut-etre-tuer-la-peine-de-mort-en-amerique

Le SIDA et d’autres virus ont bien été créés en laboratoire par les Etats-Unis dans un but génocidaire


Les-autotests-du-VIH-sida-pourraient-etre-autorises-en-France_article_popinCet article vient compléter celui publié sur de nombreux médias citoyens cette semaine. Le sujet peu sembler vu et revu depuis des années et pourtant, en constatant le doute qui persiste chez beaucoup de lecteurs, il convient de creuser le sujet afin de démêler le vrai du faux.

Officiellement, la médecine indique que le SIDA, ayant officiellement causé 28 millions de morts à ce jour, proviendrait du virus d’immunodéficience humaine (VIH). Certaines théories indiquent quand à elles qu’aucun virus VIH n’a jamais été détecté chez un malade du SIDA et d’autres qu’il s’agit d’un virus crée en laboratoire. Tout cela n’est pas très clair. Alors qu’en est-il vraiment? 

Cet article retranscrit essentiellement les recherches du Dr Boyd Graves s’étant penché réellement sur la question sans passer par le prisme de la pensée unique. Une vidéo du Dr Horrowitz et divers documents déclassifiés du gouvernement viennent confirmer ses dires. Le Dr Graves décédera le 18 Juin 2009 d’une infection par la bactérie Escheria Coli. Les plaintes en justices engagés contre le gouvernement des Etats-Unis ont été à chaque fois étouffées. 

(voir l’organigramme plus en détail).

organigramme VIH
Pour les sceptiques qui penseraient que ce sont de faux documents, vous trouverez ici un ensemble de 5000 pages de documents du congrès déclassifiés qui montrent que ce sont des documents originaux. Ils parlent précisément des armes biochimiques US (l’aspartame y serait d’ailleurs mentionné).

L’histoire du développement du SIDA

Le Dr Boyd E. Graves 28 septembre 2002

Extrait du livre «State Origin: The Evidence of theLaboratory Birth of AIDS »

« La véritable histoire de l’origine du sida peut être retracée tout au long du 20ème siècle en commençant par 1878. Le 29 Avril de cette année les Etats-Unis ont adopté une «Loi fédérale de quarantaine ».

Les Etats-Unis ont fait un effort significatif pour enquêter sur les «causes» des épidémies. En 1887, l’effort a été renforcée grâce au  «Laboratoire d’hygiène ». Ce laboratoire était dirigé par le Dr Joseph J. Kinyoun, un raciste pur et dur, qui servait l’idéologie eugéniste.

Deux ans plus tard, en 1889, nous avons pu identifier les « mycoplasmes », un agent transmissible, qui est maintenant considéré comme étant le cœur des maladies humaines, y compris le SIDA.

En 1893, nous avons renforcé la Loi fédérale sur la quarantaine et tout à coup il y a eu une explosion de la polio.

En 1898, nous savions que nous pourrions utiliser des mycoplasmes pour provoquer des épidémies, parce que nous étions en mesure de le faire chez les bovins et dans les plants de tabac.

En 1899, le Congrès américain a commencé à étudier la lèpre aux Etats-Unis.

En 1902, nous avons organisé une « observatoire d’évolution expérimentale » et avons pu identifier les maladies de nature ethnique.

En 1904, nous avons utilisé des mycoplasmes pour provoquer une épidémie chez les chevaux.

En 1910, nous avons utilisé des mycoplasmes pour provoquer une épidémie chez les volailles.

En 1917, nous avons formé la «Fédération de la Société Américaine pour la Biologie Expérimentale» (FASEB).

En 1918, le virus de la grippe tue des millions de gens sans crier gare. C’était un virus de la grippe modifié avec un mycoplasme aviaire pour laquelle les primates humains n’avaient aucune « immunité acquise ».

En 1921, le théoricien de l’eugénisme Bertrand Russell, soutient publiquement la «nécessité d’organiser des « fléaux » contre la population noire.

En 1931, des tests sont faits secrètement sur les Afro-Américains et expérimentons le SIDA sur les moutons.

En 1935, nous apprenons que l’on pourrait cristalliser le mycoplasme du tabac et qu’il resterait infectieux.

En 1943, nous commençons notre programme de guerre biologique. Peu de temps après, nous étudions les mycoplasmes chez les humains en Nouvelle Guinée.

En 1945, nous assistons au plus grand afflux de scientifiques étrangers de l’histoire dédiés au programme biologique américains. L’Operation Paperclip restera dans les annales comme étant l’un des programmes les plus sombres d’un gouvernement parallèle véreux faisant une fixation sur le génocide.

En 1946, la marine américaine engage le Dr Earl Traub, un biologiste raciste notoire.En mai, une séance de la Commission des Finances confirme l’existence d’une arme biologique « secrète ».

En 1948, nous savons que les États-Unis ont confirmé l’approbation de «l’élaboration d’un projet » dans lequel la question de la surpopulation de certains groupes raciaux est évoquée.

Un mémo de George McKennan du Département d’État permet de mettre en exergue le mensonge eugéniste nécessaire au génocide de millions d’innocents.

En 1949, le Dr Bjorn Sigurdsson isole le virus VISNA. Visna a été crée par l’homme et partage une partie de l’ADN du VIH. Voir, Proceedings of the United States, NAS, Vol. 92, pp. 3283 – 7, (11 Avril, 1995).

En 1951, nous savons maintenant que notre gouvernement a mené sa première attaque de virus sur les Afro-Américains en Pennsylvanie. En Pennsylvanie, des cageots sont infectés afin de découvrir combien de manutentionnaires noirs en Virginie seraient atteints d’un virus placebo.Ils ont également infecter expérimentalement les moutons et les chèvres. Selon l’auteur Eva Snead, la première conférence mondiale sur un virus semblable au SIDA a lieu.

En 1954, le Dr Bjorn Sigurdsson publie son premier article sur le virus Visna et s’impose comme le « grand-père du virus du sida. » Il va rencontrer la concurrence du Dr Carlton Gajdusek.

En 1955, ils réussissent à créer artificiellement le virus de la mosaïque du tabac. Les Mycoplasmes seront toujours au cœur du programme de guerre biologique US.

En 1957, le futur président américain, Gerald Ford (ndlr: un franc-maçon du 33ème degrés, autant dire un sataniste pur et dur) et quelques autres donnent au Pentagone la permission de déployer des agents biologiques pathogènes. Il n’y a pas de cas signalé de SIDA avant 1957, date de la création du « special operation x » (La SOX), programme qui a servi de prototype pour le programme du « virus spécial » qui commencera en 1962.

En 1960, Nikita Khrouchtchev était au courant de l’arme biologique. Sa déclaration de 1960 restera longtemps le reflet de l’arrogance de la collusion secrète entre le communisme et la démocratie. Les deux pays s’accordent en Novembre 1972 pour la réduction de la population noire.

En 1961, le scientifique Haldor Thomar publie que les virus provoquent le cancer.

En 1995, lui, Carlton et Gajdusek informent la National Academy of Sciences que «l’étude sur le visna sur les moutons serait le meilleur essai pour d’éventuels médicaments contre le HIV. »

En 1962, sous couvert de recherche sur le cancer, les États-Unis tracent le chemin pour commettre des meurtres prémédités, le programme « Spécial Virus » commence le 12 Février. Dr. Len Hayflick met en place un laboratoire de mycoplasme à l’Université Stanford. On pense que le programme « Spécial Virus » a commencé en Novembre 1961 avec un contrat de Pfizer.

À compter de 1963 et les années suivantes, le programme « Spécial Virus » menait des compte rendus annuels au Hershey Medical Center, Hershey, en Pennsylvanie. Les réunions annuelles sont emblématiques de la nature agressive de la recherche des E.U. sur le développement du SIDA.

En 1964, le Congrès des États-Unis a donné son plein appui à la recherche sur le virus de leucémie / lymphome (SIDA).

En 1967, l’Académie nationale des sciences a lancé un assaut à grande échelle sur l’Afrique. La CIA (Division Technical Services) accepte son programme secret d’inoculation.

En 1969, 18 Juillet, Fort Dietrick informe des scientifiques dans le monde et le Pentagone demande davantage d’argent, ils savent qu’ils peuvent fabriquer le SIDA. La note de service secrète sur le « Surpeuplement » de Nixon  au Congrès marque le début de la chaîne de l’holocauste du SIDA.

En 1970, le président Nixon (ndlr:Franc-maçon) signe PL91-213 et John D. Rockefeller (ndlr: illuminati), III est devient «tsar de la population. » Le Mémo de Nixon relatif à la sécurité nationale ne laisse aucun doute quant à la nature génocidaire du dépeuplement.

En 1971, Sortie du Compte Rendu n°8. L’organigramme (p.61) reste à tout jamais l’acte de naissance du SIDA en laboratoire.Le rapport d’avancée n ° 8 est délivré. Au fil du temps, le programme Spécial Virus produira 15 rapports et plus de 20.000 notes scientifiques. L’organigramme constitue le lien entre tous les documents scientifiques, l’expérimentation et les contrats des Etats-unis. Il restera « manquant » jusqu’en 1999. Les scientifiques du monde entier sont stupéfaits. L’organigramme prendra tout son sens au cours du 21ème siècle. Il apparaît aussi que les expériences poursuivies dans la Phase IV-A de l’organigramme offrent la meilleure piste vers une thérapie plus efficace pour les porteurs du VIH/SIDA. Les 60 premières pages du Compte Rendu n°8 du programme Spécial Virus dévoilent de façon probante le but de l’opération. En Juin 1977, le programme Spécial Virus avait produit 66 000 litres de SIDA. Le virus du SIDA était ajouté aux vaccins envoyés en Afrique et à Manhattan. Cependant, grâce à la franchise d’auteurs tels que le Dr. Robert E. Lee, nous apprenons que le Laboratoire de Mycoplasmes de Stanford publie un des premiers rapports incluant le terme SIDA dans son titre : « Infections Virales chez l’Homme Associées au Syndrome d’Immuno-Déficience Acquise ». Le scientifique initial, le Dr. Thomas Merigan, était « conseillé » dans le programme Spécial Virus

Le compte rendu n ° 8 page 104-106 prouve que le Dr Robert Gallo travaillait secrètement sur le de développement du virus avec le plein appui du secteur du gouvernement américain qui cherchait à tuer ses concitoyens. Dr Gallo ne peut pas expliquer pourquoi il a exclu son rôle de «chef de projet» pour le programme Spécial Virus dans sa bibliographie. Les premiers travaux et découvertes du Dr Gallo peuvent être mis en relation avec l’organigramme de 1971.  Nous savons maintenant comment chaque expérience s’y imbrique.  La logique de recherche est une preuve irréfutable de l’existence d’un « Manhattan project » visant à élaborer un cancer contagieux qui tue sélectivement. Le document de 1971 du Dr Gallo est d’ailleurs identique à son annonce faite en 1984 sur le SIDA.

Le compte rendu n ° 8 page 273-286 prouve que nous avons inoculé le sida à des singes. Depuis 1962, les Etats-Unis et le Dr. Robert Gallo ont infecté des singes et les ont relâchés dans la nature. Ainsi, même des scientifiques du gouvernement sont stupéfaits de constater l’apparition soudaine du HIV-1 et HIV-2 chez deux espèces de singes d’origines différentes, au cours des cent dernières années. Une étude japonaise de 1999 révélera finalement l’origine anthropique du virus du SIDA chez les singes. Les résumés des expériences faites sur les singes prouvent définitivement que le virus d’immunodéficience simienne est également fabriqué par l’homme.

En 1972, les Etats-Unis et l’Union soviétique signent un accord biologique qui signe l’arrêt de mort de la population noire. L’accord de 1972 pour la collaboration et la coopération dans le développement d’agents biologiques offensifs fait toujours partie de la politique des Etat-Unis.

En 1973, le scientifique de renommée mondiale, Garth Nicolson fait un rapport sur son projet, «« Rôle de la Surface Cellulaire pour Echapper à la Surveillance Immunitaire » (Role of the Cell Surface in Escape From Immunological Surveillance). Son rapport est accompagné de sept articles publiés. Le Dr.Nicolson a travaillé en collaboration avec le programme Spécial Virus de 1972 à 1978. Il est considéré par certains comme étant le collaborateur de la côte ouest du Dr Gallo. Il est fortement suspecté qu’en raison du Dr.Nicolson, le Dr Robert Gallo et le Dr Luc Montagnier se seraient secrètement rencontrer en Californie du Sud pour se mettre d’accord sur ce qu’ils pourraient dire et ne pas dire sur le programme de développement du « spécial virus ».

En 1974, Henry Kissinger (ndlr: Franc-maçon de 33ème degrés) produit son NSSM-200 (plan américain de lutte contre la surpopulation). Il est le seul sujet de discussion lors de la Conférence mondiale de la population à Bucarest, en Roumanie. Les hommes de l’ombre avaient gagné, tout le monde était d’accord pour secrètement abattre la population africaine. Aujourd’hui, c’est l’Afrique et d’autres qu’ils considèrent indésirables. Demain, cela pourrait être vous.

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En 1975,  Le Président Gerald Ford signe le Mémorandum de Défense de la Sécurité Nationale n°314. Les Etats-Unis implémentent le NSSM-200 de Kissinger .

En 1976, les Etats-Unis produisent le compte rendu n ° 13 du programme « Spécial Virus ». Le rapport prouve l’existence d’accords internationaux des États-Unis avec les Russes, Allemands, Britanniques, Français, Canadiens et Japonais. Le complot visant à tuer des Noirs a un large soutien international. En Mars, la production du virus du sida commençet, en Juin 1977, le programme avait produit 66 000 litres de SIDA. Le président Jimmy Carter autorise la poursuite du plan secret pour abattre la population noir.

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En 1977, le Dr Robert Gallo et les scientifiques soviétiques se réunissent pour discuter de la prolifération des 66 000 litres de SIDA. Ils intègrent le SIDA dans le vaccin de la variole pour l’Afrique et le vaccin expérimental de l’hépatite B pour Manhattan. D’après les auteurs Juin Goodfield et Alan Cantwell, le lot n ° 751 a été administré à New York à des milliers de personnes innocentes. Ce gouvernement ne sera jamais en mesure de réparer le mal fait aux personnes pour le viol sociale, l’humiliation et les préjudices faits aux personnes qui font face au VIH / SIDA quotidiennement. Les hommes de l’ombre avaient calculé avec précision que vous ne vous soucieriez  pas de la mort de noirs et d’homosexuels. En fait, vous ne vous souciez pas que près d’un demi-million de vétérans de la guerre du Golfe soient infectés par quelque chose de contagieux. Bientôt, il n’y aura plus de population noir ni de militaires handicapés, les Blancs âgés commenceront alors soudainement à mourir et vous n’auraient toujours rien compris.» Cela vous permettra peut être de mieux comprendre la situation.

Cette vidéo réalisée par le docteur Léonard Horowitz confirme les recherches du Dr Grave. Le Dr gallo y est pris en flagrant délit de mensonge en fin de vidéo. (Si quelqu’un veut se dévouer pour une VOSTFR…)

Soudain, tout comme le président Nixon l’avait prédit, le nombre de morts explosait. Le 4 Novembre 1999, la Maison Blanche annonçait, ….
« Dans un délai de cinq ans, tous les nouveaux infectés par le VIH aux Etats-Unis seront afro-américains …. »Il faudra tôt ou tard que nos experts soient autorisés à prendre en compte l’histoire de ce programme de virus. Il serait invraisemblable, sans cela, de tenter d’élucider l’étiologie du SIDA.

Davantage de détails sur l’histoire du programme de virus secret peut être trouvé dans les archives du Dr. John B. Moloney. L’examen des fichiers du Dr Moloney permettra encore d’identifier d’autres dates et archives qui correspondent à l’une des plus grande prolifération de maladie dans l’histoire de la race humaine. Nous avons trouvé le chaînon manquant. Le fondement de la logique logique de recherche d’un programme fédéral destiné à tuer. Nous pouvons identifier quelques-unes des personnes qui ont travaillé dans l’ombre comme les Drs Robert Gallo et Garth Nicolson. Connaissant les mécanismes d’attaque par lesquels nous pouvons stopper le SIDA, il est désormais temps que plus personne ne puisse être touché par cette chimère de mycoplasme synthétique.

Aider ceux d’entre nous qui sont encore là pour réaliser une vie épanouie et contributive. Nous sommes tous un même peuple.

Le 28 Septembre 1998, j’ai déposé une plainte contre les Etats-Unis pour la «création», «production» et «prolifération» du SIDA. Le 7 Novembre 2000, la cour d’appel s’aligna sur la décision du tribunal de première instance jugeant que l’allégation de fabrication du SIDA était « sans fondement ». » Le monde attend toujours que la cour se prononce sur les éléments de ce dossier. Le tribunal ne peut pas continuer à simplement écarter nos experts et l’organigramme du gouvernement.(ndlr: et pourtant si…il suffit que la cour soit composée de franc-maçons qui sont tenus par serment de s’entre-aider et le tour est joué: c’est beau la justice n’est-ce pas?).

On m’a demandé de donner mon point de vue en ce qui concerne le programme fédéral MK-NAOMI. Le signle MK-NAOMI est le nom de code prévu pour désigner le développement du SIDA. La partie «MK» sont les initiales des deux co-auteurs du virus du SIDA, Robert Manaker et Paul Kotin. La partie « NAOMI » signifie « les noirs ne sont que des individus temporaires. » ( Negroes are Only Momentary Individuals). Le gouvernement américain continue à orchestrer le silence des très hauts échelons du Congrès et des militaires. À l’heure actuelle, personne ne prend ses responsabilités. Les honnêtes gens finiront par créer un tsunami d’indignation dans l’opinion public. Nous ne pouvons pas permettre à l’Etat un droit autocratique de gouverner en dehors de la constitution. Notre société est structurée de façon à dissimuler les crimes d’Etat, tout en punissant les citoyens pour des délits mineurs. Leur stratégie est basée sur la confusion générale qu’ils peuvent créer en manipulant les médias. Ils sont très habiles à ce jeu là. Nous devons nous concentrer sur la présentation régulière de l’organigramme qui est le chaînon manquant qui prouve l’existence d’un programme de recherche coordonné pour développer un virus du cancer qui détruit le système immunitaire.

Cette compilation de documents judiciaires et de correspondances est l’accomplissement du véritable effort d’un homme afin de résoudre le mystère de l’origine du sida. Nous avons trouvé l’origine du SIDA, c’est nous.

~ Boyd 'Ed' Graves 7 Juillet 1952 au 18 Juin 2009
~ Boyd ‘Ed’ Graves 7 Juillet 1952 au 18 Juin 2009


 

 

L’origine du SIDA est aussi à l’origine de presque tous les virus du cancer qui existent. Le Lymphome, la leucémie et le SIDA sont une petite partie d’une longue liste de maladies crées par l’homme. Ces cancers ont été développés dans un endroit appelé Fort Dietrich, Maryland, États-Unis, dans une installation de l’armée. En 1971, Fort Detrich changea de mains, et sous le couvert de l’Institut national de la Santé (NIH) la «recherche» biologique a continué, après que le président Nixon ait déclaré que les Etats-Unis réduiraient le financement et l’arrêt de la «recherche» biologique, en fait, ce financement pour la recherche biologique a augmenté en 1970 avec l’appropriation de 10 millions de dollars pour créer un virus de suppression immunitaire « pour lequel aucune immunité naturelle ne pouvait être obtenu ».

L’OMS est dirigée par l’ONU et à son tour, l’OMS répercutent les plans du nouvel ordre mondial sur le peuple. Les vaccinations de masse, les pénuries alimentaires, les prédictions pandémie.

Si vous n’êtes pas déjà au courant du but de l’ONU, l’OTAN, l’OMS, l’AMA (American Medical Association), faites des recherches, l’information n’est pas si difficile à trouver, vous avez juste à regarder dans la bonne direction.

l’AMA a été créée pour stopper les établissements d’enseignement de santé alternatifs aux États-Unis et pour faire en sorte qu’il ne soit possible de se former que dans les universités. C’est pourquoi la plupart des médecins ne connaissent pas les bienfaits de l’oxygène et la vrai santé et ne connaissent pas grand chose comme remèdes.

Comme Hippocrate le disait: « soyez votre propre médecin ».

Nous avons été tellement endoctrinés à penser que notre santé est si complexe, et avons appris qu’il n’y a pas de remède de fond pour la maladie, mais la vérité est que la maladie humaine est soignable facilement, la toxicité externe et le cancer crée par l’homme est une autre chose, mais là encore il existe des remèdes avec une variété d’options, qui sont tenue à l’écart du peuple par la mafia médicale aux commandes car «un malade guéri est un client perdu». »

Conclusion:
Que dire si ce n’est que ce médecin a tout compris. Merci à lui pour ses recherches qui démontrent que les plans génocidaires de l’élite sataniste qui nous gouvernent ne datent pas d’hier. Méfions-nous de leurs manigances. Non, les gouvernements ne veulent pas notre bien-être (l’article montre bien que des accords ont été passés avec divers pays, y compris la France), non l’OMS ne s’intéresse pas à notre santé (au contraire, ils sont là pour diminuer la population mondiale, typiquement par le biais de ce genre de programmes). Si par hasard, cette hiver on voit un virus mutant de la grippe aviaire faire son entrée, on saura pourquoi.

Sources:
http://www.boydgraves.com/flowchart/
http://fr.scribd.com/doc/20536742/Boyd-Graves-ESP-1-HIV-AIDS-Development-Timeline
http://fr.scribd.com/doc/20272035/hb-15090
http://www.mpwhi.com/hr_dod_1970.htm

Traduction / Synthèse:
Fawkes News